Dans l'ombre des hauts gratte-ciels séoulites se cachent des rues plus sombres et moins fréquentées que les allées principales. Ces allées sombres peuvent se cacher dans des quartiers pourtant connus, mais pour d'autres raisons que le tourisme ou la gastronomie. En d'autres termes, ces lieux sont surtout connus pour leurs activités de loisir bien moins traditionnelles et bien moins morales que les autres.

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Entre autres, ce qu'on appelle « l'Allée des Roseaux » est bien connue pout ses activités. Casinos illégaux, vente de stupéfiants et maisons closes, cette allée qu'on appelle également celle de la Bonne Fortune est l'endroit propice à tout ce que les bonnes familles essaient d'éviter. Et, dans cette Allée de la Bonne Fortune, se cache également la maison close la plus réputée, la Maison Noire.

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Présentée sous le couvert d'un cabaret, la Maison Noire représente tout simplement la remise au goût des gisaeng, anciennes courtisanes coréennes. Regroupant des prostituées de bas rang qui ne servent qu'à l'assouvissement des plaisirs charnels, elle y abrite également la jeune femme la plus réputée et haut gradée, au point qu'on ne l'appelle pas une prostituée mais une Dame : Joy. Artistes et philosophes dépensent des sommes inimaginables et passent des entretiens pour avoir la chance de la rencontrer, discuter avec elle et en faire leur muse, ce qui donne à la Maison Noire un statut de prestige. Cependant, ce lieu est loin d'être parfait.

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Anciennement affiliée à une organisation mafieuse, la Maison Noire essaie tant bien que mal de se détacher de son image peu gracieuse. Cependant, rien ne nous dit que la maison close s'est définitivement séparée de ses habitudes criminelles. En outre, beaucoup d'hommes qui sont venus en tant que clients ont disparu après avoir visité ces lieux...